Leçon 6Des destins dans la bataille

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À pigeon vaillant rien d’impossible

Lorsque le fort de Vaux est encerclé, il ne reste à Raynal que ses pigeons pour communiquer… Dont le dernier, Le Vaillant, porte bien son surnom ! Asphyxié par les gaz, blessé, il parvient tout de même à porter son message jusqu’au colombier de Verdun.


Mais au fait, comment communique-t-on sur le front ? C’est à la fois indispensable pour diriger les tirs et donner des ordres, et aussi effroyablement compliqué :

Les lignes téléphoniques, qui sont coupées par les tirs d’artillerie.

Les signaux optiques, qui sont souvent masqués à cause de la fumée.

Les pigeons voyageurs, qui sont stoppés par les explosions et tirs.

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  1. Soldat français posant une ligne téléphonique. Collection La Contemporaine (Val.452/075)
  2. Signaleur optique français au fort de Souville. Collection La Contemporaine (Val.197/070). Photo : © Mémorial de Verdun
  3. Pigeons voyageurs

Progressivement, la T.S.F. (Télégraphie sans fil) se développe sur le champ de bataille et même dans les avions. Plus besoin de fils !

Faites défiler la galerie pour découvrir les différents moyens de communication
Les soldats communiquent de différentes manières plus ou moins fiables, mais des progrès sont effectués, notamment avec le développement de la télégraphie sans fil.